L’Épisode 3 de la Télénovela de l’IA : Sam Altman retourne à la maison chez OpenAI mais avec Microsoft!

Introduction :

Pour mieux comprendre ce qui se passe, nous devons nous poser la question : « À qui profite le crime ? » Cette question, souvent posée dans les enquêtes policières, s’avère tout aussi pertinente dans le monde technologique. Enfant déja et bercé par ces enquêtes, j’ai appris à chercher la clé des grands mystères en répondant à cette question. Aujourd’hui, en tant que fervent observateur de l’IA, je m’interroge : dans le récent remaniement au sein d’OpenAI et le rapprochement avec Microsoft, à qui profite vraiment ce « crime » ?

Partie 1 : Les Acteurs

Nous assistons à un grand jeu d’échecs entre les géants de l’IA. D’un côté, il y a le conseil d’administration d’OpenAI, dont les membres ont connu des bouleversements significatifs. De l’autre, Microsoft et l’influence latente de Bill Gates, sans oublier Elon Musk, précurseur dans l’avènement de l’IA et même d’Open AI ( dont il a du s’éloigner en 2018). Ce départ d’Elon Musk d’Open i en 2018 n’a probablement pas été facile et pourrait encore lui laisser un goût amer aujourd’hui. Puis viennent d’autres acteurs, moins centraux mais tout aussi importants, tels que les développeurs de l’IA Cloud et l’Europe, qui cherche à marquer sa présence dans le domaine.

Partie 2: Leurs Intérêts

Dans ce contexte, chaque acteur apporte sa vision sur qui devrait bénéficier de l’IA et à quel prix. Musk, Altman, Gates, et les membres du conseil d’administration d’OpenAI : chacun a sa propre idéologie et ses propres ambitions, influençant ainsi le futur de l’IA.

Partie 3 : Mon Avis partisan

D’un coté, Elon Musk, une figure emblématique de l’innovation et de l’entrepreneuriat, possède un portefeuille impressionnant de biens et d’investissements. À la tête de plusieurs entreprises révolutionnaires, telles que SpaceX, une société pionnière dans le domaine de l’exploration spatiale, et Tesla, leader dans la production de véhicules électriques et de solutions énergétiques durables, Musk a également investi dans des projets futuristes comme Neuralink et The Boring Company. C’est l’un des fondateurs d’OpenAI, mais également un cosignataire d’une lettre ouverte visant à freiner le développement d’intelligences artificielles… Sa participation dans ces entreprises témoigne de sa vision avant-gardiste et de son désir de repousser les limites de la technologie. Il suscite des réactions contrastées : adulation pour certains, répulsion pour d’autres. Cette polarisation s’explique par plusieurs facteurs. D’une part, il est admiré pour son audace, sa capacité à innover et à transformer des industries entières, inspirant ainsi une génération d’entrepreneurs et de rêveurs. D’autre part, il est critiqué pour son comportement parfois controversé sur les réseaux sociaux, ses déclarations provocatrices et sa gestion des employés, qui peuvent être perçues comme autocratiques ou insensibles. Ces aspects de sa personnalité et de sa gestion d’entreprise contribuent à un portrait complexe, faisant de lui une figure tant célébrée que contestée dans l’opinion publique.

De l’autre, la position de Gates m’interpelle. Bill, grâce à sa fondation, exerce une influence énorme. En tant que l’un des plus grands propriétaires terriens américains, son influence est considérable, notamment par l’intermédiaire de sa fondation sur l’OMS. Sa position de philanthrope est tout à fait louable officiellement, mais il y a un ‘mais’. Ce besoin de vouloir tout contrôler, et ses liens avec Davos, ne m’inspirent pas confiance. Bill Gates est également un acteur très influent dans le Forum économique mondial. Il participe activement à atteindre et même a fixer les objectifs des élites qui s’y rencontrent, ce qui renforce encore davantage son rôle et son influence dans les sphères de pouvoir mondial.

Quant à OpenAI, je crains que leur approche trop « woke » ne compromette la liberté d’expression, un pilier essentiel de l’IA pour tous.

Ma Vision est simple. En premier plan : une IA accessible et libre pour tous, à l’image de mon site, IAForAll. Je rêve d’une IA puissante, multimodale, libre de toute censure, qui serve l’humanité dans son ensemble et non quelques élites. Dans cette guerre, je me sens davantage en phase avec la vision de l’IA de Musk, un outil libérateur et puissant. Je ne vois pas forcément d’un bon oeil l’influence grandissante du clan GATES dans l’IA même si je reconnais qu’il joue un rôle majeur dans le dévellopement de cet outil.

La rivalité entre Gates et Musk sur le terrain de l’IA promet d’être intense.

Conclusion : Initialement employé par Open AI, Sam Altman a été licencié, puis étrangement réinvité à rejoindre l’entreprise. Dans un tournant surprenant, il a été recruté par Microsoft avant de revenir finalement chez Open AI, mais cette fois avec le soutien notable de Microsoft. Cette série de mouvements soulève des questions intéressantes sur les intentions et stratégies des entreprises impliquées. Le fait marquant ici est que Microsoft semble désormais occuper une place plus significative au sein d’Open Ai, ce qui pourrait indiquer une influence et un rôle accrus dans l’entreprise. Cette évolution stratégique chez Open AI, avec le soutien de Microsoft, est un exemple fascinant de la dynamique du secteur technologique, où alliances et stratégies peuvent rapidement changer le paysage.Dans cette bataille de titans, où Sam Altman réintègre OpenAI avec le soutien de Microsoft, il semble que Microsoft soit le véritable gagnant. La question « À qui profite le crime ? » trouve sa réponse dans les stratégies astucieuses de Gates, qui, depuis l’ombre, influence significativement le jeu de l’IA ( et donc sur le monde entier…).