À deux jours de l’investiture de Donald Trump : quand la France peut se targuer d’un Thierry Breton face à Elon Musk…

Le couple Trump–Musk, un binôme 100 % « production & innovation »
Rappelez-vous, il n’y a pas si longtemps, on se moquait d’Elon Musk lorsqu’il annonçait vouloir se lancer dans la conquête spatiale. « Trop ambitieux pour un simple nouveau venu », gloussaient les sceptiques. Aujourd’hui, cet « immigré » sud-africain a fait de SpaceX le leader mondial des lanceurs orbitaux réutilisables, et il ne compte pas s’arrêter là : après Tesla, Neuralink et le rachat de Twitter (rebaptisé X.com, 40 milliards de dollars tout de même), Musk pèse désormais de tout son poids dans la balance médiatico-politique américaine.
Macron–Breton, la « Start-up Nation » version régulation à outrance
À l’inverse, en France, on entend toujours Emmanuel Macron répéter qu’il veut « libérer la créativité ». Pourtant, 95 % de son énergie semble se focaliser sur la régulation, les nouvelles taxes et les amendes. L’objectif ? Contrôler l’innovation pour mieux « l’encadrer »… ce qui revient souvent à freiner ceux qui voudraient s’échapper du fameux « seau d’escargots » ( L’histoire des escargots anglais et français vous la connaissez? Pourquoi on ne met pas de couvercle sur un seau d’escargot Français et qu’on en met sur les anglais? Le premier Français qui essaie de s’échapper, tous les autres le tire vers le fond…)

Thierry Breton, la chance de Thomson? la chance d’atos? la chance française ?
Quant à Thierry Breton (ex-PDG de Thomson et d’Atos, aux bilans mitigés), il fut Commissaire européen au Marché intérieur, officiellement pour défendre l’Europe face aux mastodontes américains. On l’annonce toutefois en partance pour une banque US, moyennant une rémunération très confortable pour quelques interventions par an, dit-on. Certains y voient une forme de « récompense » pour avoir multiplié les attaques contre le duo Musk–Trump : car honnêtement, qui voudrait embaucher dans son entreprise un tel personnage s’il souhaite réellement sa réussite !
2 Visions du monde ?
Dans un monde où l’innovation est la solution, Elon Musk, le grand prêtre de la technologie, investit à corps perdu dans des merveilles modernes : le spatial, l’IA, les robots humanoïdes, Neuralink, et même la mobilité. Il est le Prométhée du 21ème siècle, apportant le feu de la technologie à l’humanité.
De l’autre côté de l’Atlantique, Emmanuel Macron et Thierry Breton, les gardiens de la moralité européenne, s’affairent à concocter des lois pour encadrer l’IA, craignant que cette nouvelle Pandora ne libère des maux inconnus. Alors que Musk rêve de l’homme augmenté, l’Europe s’enfonce dans des réunions de comités éthiques, discutant interminablement du bien et du mal ( selon leur propre définigtion qu’ils tentent de nous imposer).
Musk, dans un coup de génie ou de folie, rachète Twitter pour la coquette somme de 40 milliards, le transformant en X.com. Un outil de communication global? Une arme de manipulation massive? Peu importe, c’est désormais son mégaphone et celui-ci lui a permis de prendre les rennes du pouvoir magré toutes les critiques injustes…
Macron, Breton et compagnie, les censeurs autoproclamés, hurlent au scandale, brandissant la menace de sanctions si la modération des contenus ne répond pas à leurs critères de « satisfaction ». Pendant que Musk acquiert une influence planétaire, Bruxelles rêve de lui couper la parole, guettant la moindre erreur pour lui faire fermer son clapet.
Musk, l’immigré devenu titan, a trouvé aux États-Unis le terreau fertile pour ses ambitions. Là où l‘Europe, sous la bannière de l’égalité des chances et de la méritocratie, semble plutôt maintenir un système où chaque escargot est tiré vers le bas par ses pairs.
Pendant que Musk s’élève toujours plus haut, la France, patrie du droit et de la bureaucratie, entoure ses entrepreneurs de tant de formalités qu’ils en perdent souvent leur élan, voire leur ambition.
Et voilà que, à deux jours de l’investiture de Donald Trump, c’est Elon Musk, depuis sa forteresse de X.com, qui pourrait bien tenir les ficelles médiatiques. Ce pays, souvent décrié pour ses dérives populistes, laisse pourtant un Sud-Africain d’origine, mais un Américain dans l’âme; un étranger, bouleverser l’industrie spatiale et accumuler un pouvoir qui pourrait bien redéfinir le paysage mondial.
Ce récit satirique illustre la dichotomie entre l’innovation sans limites et la régulation tatillonne, entre l’envol de l’entrepreneur et les chaînes de la bureaucratie.
Pendant ce temps, l’Europe sans tête, s’entête, avec malheureusement en première ligne de mire la France, persuadée de détenir la vérité et qui voudrait l’imposer à quiconque serait en mesure de prouver le contraire — car il pourrait dire des vérités trop dérangeantes….
Quel duo choisiriez-vous, et vous, pour diriger votre beau pays ? Personnellement, j’ai déjà fait mon choix… mais heureusement, nous sommes en démocratie, et je ne suis pas le seul à voter, lol.…